Toutes les photographies de ce billet ont été réalisées à moins d’un kilomètre de mon domicile actuel. Elles représentent des lieux familiers que je fréquente depuis l’enfance, dans leurs atours d’hiver.
Voici un chemin familier, dans le brouillard. Il y a des décennies, de tels conifères couvraient une bonne partie du territoire local, mais ils disparaissent peu à peu, rongés par des insectes parasites.
Un détour par un jardin en hivernage.
Le sentier de fond de combe dans lequel nous nous aventurions, avec mon frère et d’autres enfants du voisinage, dès l’âge de 7 ou 8 ans. Le lieu de nos premières explorations autonomes, sans la surveillance des adultes.
La combe juste en haut du chemin, notre terrain de jeu favori des années 1970. Le site n’a pas beaucoup changé depuis.
Juste au-dessus de la falaise, un plateau calcaire qui apparait ici couvert de givre.
Des sentiers de terre permettent de rentrer à la maison après la balade sur la falaise.
Et juste avant d’arriver au village, une vue sur l’église par-delà la végétation givrée.
2 thoughts on “En haut d’chez moi”
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Tes photos de givre sont féériques! Cette combe dont tu parles me rappelle les combes de ma jeunesse, maison de vacances de mes grands parents où nous allions souvent l’été, dans le Loiret, c’était magique!
Très joli lieu de balade dans le temps et l’espace et quand le givre s’en mêle, c’est superbe !
Très belles images …