Il y a près de chez moi deux espèces d’alisiers : l’alisier blanc et l’alisier torminal. Voici d’abord le premier, dont j’adore les couleurs en automne. Ces photos ont été réalisées à moins de 5 minutes de marche de ma maison, dans une combe, au milieu de monticules de pierres.
Le second est plus discret et plus difficile à repérer au milieu des autres arbres.
3 thoughts on “Les deux alisiers”
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Je pense néanmoins que l’Alisier de Fontainebleau pourrait être encore recherché dans ta région (absent de Côte-d’Or en principe, mais…).
Dans l’atlas de la flore de Bourgogne (édition 2008), quelques stations sont mentionnées en Cote d’Or mais pas proches de Dijon. Si j’ai l’occasion de croiser des gens de l’ONF, je demanderai.
J’ai dit une belle bêtise : bien sûr que l’Alisier de Fontainebleau est présent en Côte-d’Or puisque j’en ai vu moi-même avec le spécialiste français du genre Sorbus au nord de Montbard (je ne sais pas pourquoi je me suis dit que c’était dans l’Yonne) et visiblement, il n’y en aurait que dans ces coins dans ce département. Toutefois, l’espèce reste méconnue ou confondue. Il s’agit d’un hybride fixé et il ne faut pas le confondre avec des hybrides occasionnels, ce qui fait qu’à mon avis, la reconnaissance fiable de cette espèce n’est pas à la portée du premier agent ONF venu. Même si elle est importante, il ne faut pas se contenter de la morphologie, il faut aussi compter/comparer les morphotypes des individus réputés de l’espèce et de ses parents.