Juste après la coupe aux cardamines, le chemin, tout en restant sous le couvert des arbres de la forêt, longe une prairie.
Coté prés, des haies, des clôtures, au loin, un champ de colza.
Puis le chemin débouche sur une de ces petites routes qui font le charme de la Haute-Saône.
À quelques kilomètres, j’entreprends de longer un champ de colza séparé d’une rivière par une zone arborée dense et sauvage.
Je suis attiré par un merisier en fleurs.
Tout en m’en approchant, je prends le temps d’admirer les effets de lumière dans les jeunes feuilles des arbres alentours.
Enfin, j’atteins les fleurs immaculées dans leur écrin aux multiples couleurs.
3 thoughts on “Suite de la balade”
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Le colza en fleurs en avril… ça fait rêver. Ici, ça viendra en juillet. Pourquoi mes ancêtres ont-ils quitté la Bourgogne?
En juillet, ici, le colza sera moissonné. Mais peut être n’est-ce pas la même variété. En France, le colza est semé en août / septembre et est déjà bien développé en octobre / novembre, quand le froid s’installe. Mais je me demande si les variété cultivées au Canada ne sont pas semées au printemps, ce qui expliquerait un décalage aussi important.
Ceci explique cela, en effet. Toutefois, je ne crois pas que des variétés d’automne survivraient à nos hivers… d’où des semis au printemps.