La rivière s’enfonce dans la forêt, bordée par la végétation luxuriante du mois de mai.

Dans quelques semaines, ce lieu sera envahi par des orties de deux mètres de haut et des centaines de taons et moustiques assoiffées de sang.

Et pour cause ! Il y a à proximité de vastes étendues d’eau stagnante à souhait.

3 thoughts on “Au bord de l’eau

  1. MOURON dit :

    Je guettais votre retour… et apprécie déjà le nouveau format

    1. J’espère que les habitués de l’ancien blog viendront régulièrement sur ce nouveau.

  2. Que d’eau ! que d’eau !

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