L’assèchement en profondeur du sol a été tel cet été que je ne pensais pas une crue de la Vingeanne possible dès le début de l’hiver. Mais les pluies d’automne, particulièrement abondantes, ont démentit ma prédiction. La rivière a atteint le débit de sa crue biennale, recouvrant les prairies inondables de son lit majeur.
3 thoughts on “La crue que je n’aurais jamais crue possible”
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C’est marrant, on dirait que les arches de ce pont ne sont pas complètement rondes, comme si elles étaient en ogive, sur certaines de tes photos.
Oui, c’est l’intersection des deux cercles formés par les deux cotés des arches dont les surfaces intérieures se confondent presque avec les façades en raison de la lumière plate et sans relief. Je n’avais pas remarqué mais l’effet est plaisant, je trouve.
Des observations qui recoupent, un peu celles faites par Paysan Heureux sur l’Arroux, pourtant dans un contexte de bassin versant à la géologie très différente.