Voici la suite de la dernière balade d’automne dont j’ai montré les prémices dans le billet précédent. Milieu de matinée, au bord de mon canal préféré. Ce genre d’ambiance, comme je le disais hier, est rare. Ce jour là, j’ai marché 16 kilomètres en forêt et au bord du canal pour me rassasier de cette lumière, même après que le givre a fondu. (Oui, cette phrase sonne bizarrement, et pourtant, jusqu’à plus ample informé, « après que » doit être suivi d’un verbe à l’indicatif.)