Nous sommes au moment de cette lente transition entre l’hiver et le printemps où l’on prend le temps de getter chaque nouvelle fleur au bord des chemins forestiers. Au-delà de 10 cm du sol, le paysage est hivernal.
Sauf lorsqu’on croise un saule Marsault…
C’est au raz du sol que la nature s’éveille.
Dans la forêt de plaine, les premiers coucous attirent le regard.
Tandis-que dans les zones plus sèches et pentues, ce sont les scilles à deux feuilles et les anémones hépatiques.
Et au bord des petites routes de campagne, les corydales ne laissent aucun doute quand au changement de saison.
3 thoughts on “Acte I du printemps”
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Pas encore vu de Corydales !
Jolies photos, comme à l’accoutumée. Plus Primevère élevée que Coucou qui est en principe la Primevère officinale. Et pour la corydale, il vaut mieux préciser la Corydale à bulbe plein, car il en existe d’autres espèces, qui certes ne poussent pas dans les mêmes biotopes.
Je voulais écrire coucous des bois mais je n’ai pas voulu faire la répétition avec sous-bois. Primevères élevées aurait été un moyen élégant d’éviter la confusion.